Voici quelques témoignages parmi tant d’autres des effets fulgurants de la méthode 99%. 

J’y préserve volontairement l’anonymat de mes élèves. 

J’utilise ma méthode 99% en cours de rattrapage pour enseigner l’allemand, l’anglais et l’espagnol, trois des cinq langues que je parle couramment. 

Je travaille aujourd’hui en partenariat avec l’école Cours et Méthode sur Dinan, Saint-Malo et Lamballe.

Introduction

Mes témoignages

mars 2019

Mes idoles

Fin  mars, deux élèves scolarisés au collège des Cordeliers à Dinan, m’ont été confiés pour essayer de sauver leur moyenne au bac S. Nous avions à peine 3 mois.

Ils étaient très doués en sciences (17 de moyenne), mais ils avaient abandonné tout espoir en allemand.

Le benjamin, ayant sauté une classe, les deux frères se retrouvaient au même niveau.

Le benjamin, le plus timide des deux, me dit détester l’allemand et l’aîné de rajouter : « ce sont des cons ! » 

De mon point de vue, la connerie n’a malheureusement pas de frontière et si elle en a, elle ne semble aucunement être raciste ! Les réflexions des deux garçons étant porteuses de solution : j’y ai adhéré !

« Et bien, ma foi, ça va poser un problème » leur dis-je. « Si vous pensez que les allemands sont des cons, c’est que vous partez du postulat que vous ne l’êtes pas. Connaissant votre parcours scolaire je ne peux qu’adhérer. Mais alors comment expliquer que des cons arrivent à parler une langue que vous n’arrivez même pas à apprendre ? »

Les deux garçons avaient respectivement 0 pour l’aîné et 3 pour le benjamin de moyenne en mars, en terminale. Pour la mention il leur fallait la moyenne ! Et il leur fallait la mention pour entrer dans l’école d’ingénieurs qu’ils espéraient intégrer.

« Vous allez nous faire crouler sous les devoirs et on en a déjà bien assez avec les révisions ! » 

« Moi ? Vous faire crouler sous les devoirs ? Si après 7 ans vous ne parlez toujours pas allemand, ce n’est pas en 3 leçons que nous allons rattraper l’affaire, ni en vous faisant faire des devoirs. Je pense que vous avez usé et abusé de cette méthode auparavant, sans autre grand résultat que de vous dégoûter de l’allemand ! »

« Alors, si on ne travaille pas notre allemand, comment va-t-on sauver notre mention ? »

« Parce que tout est dans votre cerveau les garçons ! »

« Quel est votre prénom en allemand ? » Je leur pose la question en français.

Ni l’un, ni l’autre n’ont su me répondre. Je leur repose la même question mais en ajoutant : « quel est votre prénom en français ? ». Là évidement, ils avaient la réponse. 

Et bien leur dis-je :  » votre prénom ne change pas d’une langue à l’autre, au pire il peut être déformé, mais il reste le même que celui inscrit sur votre carte d’identité. » (…)

« Comme vous êtes persuadés de ne pas parler allemand, vous faites un blocage et votre cerveau, sans même réfléchir répond : « je ne sais pas ! ».

Nous avons fait 3 cours de 2h. Rien de plus.

Plus tard dans l’année, je croise leur mère, par hasard. Elle m’apprend que les garçons ont eu respectivement 9 et 11 en allemand au bac. Ils ont donc été reçus avec mention. L’aîné a bien intégré son école et pour le benjamin elle me dit : « tu ne devineras  jamais où il est ! »

Et elle rajoute : « Je ne sais pas ce que tu lui as fait ou dit, mais il a maintenant un autre regard sur l’apprentissage et sur le rapport prof-élèves. Il a radicalement changé d’orientation et a intégré la fac de langue : Allemand première langue ! Tu as changé sa vie. »

« Tous les deux sont heureux ! » 

9 et 11 ans sont deux collégiens qui me sont adressés pour une mise à niveau en anglais. 

Le challenge était, pour nous trois, de tenir 2 niveaux en un seul cours.

11 ans était super motivé alors que son frère 9 ans était déjà blasé. Il en avait marre d’être dans l’ombre de son frère.

Je leur présente les outils de la méthode 99%. 9 ans comprend très vite et atteint rapidement le niveau de disponibilité d’esprit de son frère. 

Le cours se transforme en une vraie bataille de cerveaux et leur niveau d’anglais respectif se consolide et progresse sans qu’ils s’en rendent compte.

Égalité

Deux en un

Tea for two

Fils-UN

Fils-UN prétend que sa prof le saque et qu’il a beau faire tous les efforts possibles en allemand, rien n’y fait, zéro, zéro et zéro. Ce qui rend la moyenne d’allemand de son année de seconde très facile à calculer.

Nous faisons les devoirs et la mise à niveau ensemble, nous nous préparons au prochain test. Fils-UN comprend très vite et son niveau devient vraiment bon. Résultat au test : zéro !

Sa mère est convoquée en conseil de classe : sa prof a enfin la preuve qu’il triche, raison pour laquelle elle lui a remis zéro alors qu’il n’y avait presque pas d’erreurs.

Je propose à la maman de faire un courrier à son professeur. Sa maman me dit (et quelle belle leçon pour moi) : « non, non on ne fait rien. Ensemble on a prouvé à fils-UN qu’il avait raison d’écouter ses ressentis et qu’en plus il pouvait compter sur sa mère. » (…)

« On continue. On va juste espérer qu’il va changer de prof l’année prochaine. »

Il a dû faire l’année de première avec le même professeur. Nous avons continué les cours à raison d’une heure tous les quinze jours.

En terminale, le prof change. Nos cours s’arrêtent, on pense – à juste titre – qu’il sera enfin reconnu à sa propre valeur. 15 au premier test. Fils-UN gardera cette moyenne jusqu’au bac.

Fils-DEUX est accepté dans une école au japon. Jusque là, tout va bien !

Seul hic, les cours de japonais sont donnés en langue anglaise avec laquelle il a des difficultés.

Sa mère me demande si on peut faire quelque chose en deux cours de deux heures. Je lui dit qu’un seul devrait suffire ! 

Au bout de deux heures de cours sa mère m’offre un thé et me dit : « si je ne savais pas que c’était toi et ta méthode, si je n’en avais pas vu les résultats sur Fils-UN, je peux te dire que je serais montée vous demander d’arrêter de rire et de commencer enfin à travailler. Vous avez passé deux heures à rigoler. Crois-moi, si j’ai bien compris ta méthode, à l’intensité de ses rires, une seule leçon devrait effectivement suffire… mais vient quand même la semaine prochaine ! »

La semaine suivante Fils-DEUX me montre comme il a complètement assimilé la méthode qu’il applique déjà : L’anglais n’est plus un soucis, il a commencé tout seul l’apprentissage du japonais ! Ses années d’études là-bas ont été un succès !

& two for tea

Fils-DEUX

espagnol

et plus si affinité

L’espagnol n’est pas son fort. Il l’a pris parce qu’il pensait que ce serait plus facile que l’allemand.

À son entrée en première, il se retrouve coincé avec un tas de lacunes accumulées. Rattraper ce retard était extrêmement chronophage et l’empêchait de s’investir comme il l’aurait souhaité dans les autres matières. Sans parler du fait qu’il n’avait plus de temps libre.

Ce jeune homme était d’un grand sérieux. En lui présentant ma méthode, il m’a regardé avec des grands yeux et avait l’impression d’écouter un(e) extra-terrestre. Mais, consciencieux, il a joué le jeu jusqu’au bout.

Le cours suivant, il garde le nez dans son cahier, comme s’il était coupable de quelque chose de grave.

Il me dit : « je ne sais pas si j’en avais le droit, mais j’ai appliqué ta méthode aux autres matières. »

« Quoi ! » lui-dis-je. Il devient tout rouge et croit avoir fait une bêtise.

« Mais j’espère bien que tu l’as utilisé dans tous les domaines. Je t’ai dis que tu étais un petit génie ! Et ça a marché ? »

« Carrément, j’ai fait comme t’as dit : j’ai fait moins d’efforts, mes notes sont bien meilleures et j’ai enfin plus de temps libre. »

Comme son but était de progresser au tennis et que le niveau d’espagnol était atteint, nous avons rapidement arrêté les cours.

Cette petite puce ramait grave dans son année de 5ème.

On la disait atteinte de dyslexie et de dysorthographie, plus simplement elle confondait et mélangeait les lettres à l’écrit et à la lecture et chercher ses mots la faisait un peu bégayer.

C’était déjà difficile pour elle en français. L’anglais demandant une autre logique, ça allait un peu mieux.

Mais l’espagnol ayant des similitudes avec le français, le diagnostique de handicap se confirmait.

Travailler avec la méthode 99% c’est s’ouvrir au fonctionnement du cerveau et à ces multiples ressources.

Je commence donc à expliquer à cette petite puce que de mon point de vue, son cerveau va beaucoup trop vite pour ses mains et sa bouche ! Qu’elle est plus intelligente que la moyenne et qu’on allait ensemble ramener un peu de calme et de sérénité dans ses neurones tout en les sollicitant avec le respect qui leur est dû.

En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, la petite puce parle avec moi en espagnol, joue avec les exceptions sans se tromper et formule des phrases sans erreurs.

Confiants, ses parents me demandent de l’aider à décoder les autres matières. Chose possible avec les tickets de Cours et Méthode puisqu’ils ne sont pas attribués à une matière ou à un professeur, mais au temps passé avec l’élève.

Nous nous retrouvons à disséquer l’anglais, l’histoire et le français. Des Résultats notables ont vite été observés dans toutes les matières, puisque « comme par magie » la petite puce ne bégaye plus ni ne confond ses lettres !

Son seul tord était d’être un peu émotive et très intelligente ! 

Dit "slexique" !

Prête à plus !

Convocation

À l’arrivée du nouveau responsable des professeurs, à l’école Cours et Méthode, j’ai été convoquée pour me présenter d’une part, mais aussi pour certaines mises au point.

– « Quand vous arrêtez les cours après 3 séances, vous en pensez quoi ? »

– « Je pense que je suis intervenue 2 fois de trop ! » Lui dis-je en riant.

« C’est bien ce que je pensais ! »

– « Vérifiez auprès des parents des élèves que j’ai eu. Ils croulent moins sous le travail et les notes remontent ! »

– « C’est ce que j’ai fait et c’est bien ce qu’ils m’ont dit. Est-ce que vous seriez d’accord pour que nous proposions votre méthode sur notre site ? »

Et voilà comment 99% se retrouve officiellement à Cours et Méthode !