Je m’appelle Anne Julie BAILLY GAULTIER. Je suis née en 1971, en Bretagne.
Une vieille cigogne peu consciencieuse ou au sens de l’humour très décalé a déposé mon couffin dans une famille malveillante.
Guidée par mes croyances et aidée des outils de l’époque, je me suis d’abord rebellée, puis battue avec pour seul résultat : la colère et l’épuisement.
Au lieu de choisir la mort ou la dépendance comme exutoire, j’ai choisi de me reconstruire dans la joie de vivre et l’humour.
J’ai étudié la bio-chimie, puis j’ai vécu 25 ans en Suisse où les langues, la psychologie et les médecines parallèles. J’ai appris à pratiquer le pardon, la résilience et un tas de méthodes plus ou moins douces dites de développement personnel ou de bien-être.
La plénitude se rapprochait d’un verre à moitié plein et restait, pour cause, toujours trop fugace.
J’ai vite compris que les méthodes pour tous ne peuvent fonctionner pour personnes en profondeur, parce qu’elles impliquent de rentrer dans un moule. Elles ne pouvaient donc pas me convenir non plus.
La source du problème ne peut pas être éradiqué tant que le problème n’est pas abordé du bon côté. J’ai alors envisagé un autre point de vue : si nous ne subissions ni notre passé, ni notre éducation, ni encore moins les autres.
S’il n’y avait rien à pardonner, encore moins à surpasser. Cela signifierait-il que nous serions et aurions toujours été maître à bord ?
25 ans plus tard, je suis à même de vous proposer une méthode d’anti-coaching qui s’adapte à chacun. À commencer par moi.
Vous pouvez réapprendre à diriger votre barque et à bien choisir vos ports d’attache. À partir de là, vous connaîtrez alors enfin, vous aussi, le plaisir de vivre pleinement.
Je suis ravie de vous faire profiter de mes découvertes, mes méthodes d’anti-coaching et d’anti-développement personnel et de pouvoir vous aider à découvrir et vivre qui vous êtes réellement et ce, de manière exponentielle et autonome.
À très bientôt,
Anne Julie
SHUAR WARS I Le Chamane et la Pétasse
Le fils d’un chef de village, aussi homme médecine, venant d’une tribu d’Amazonie, plus connue pour leur talent de réducteurs de têtes que pour leur recette de guacamole, m’a demandé d’écrire sur leurs traditions, afin de les préserver à jamais. C’était, m’a-t’il dit le souhait de son père.
J’ai rencontré le papa en question qui a validé le premier manuscrit en me demandant d’être encore plus exacte et précise sur les termes employés.
Les Uwishins (hommes médecines Shuars) m’ont proposés un deal : je mets noir sur blanc ce qu’ils ont à dire et pourquoi, et eux en contre partie nous donnent le secret pour sauver in extremis nos esprits.
De la manière la plus ludique qui soit, tout en restant dans le vif du sujet, la première partie de SHUAR WARS : le Chamane et la Pétasse est un récit tranchant sur nos quatre vérités. Il faut savoir d’où nous venons avant d’attendre de comprendre pourquoi on va là où on va. Je n’avais pas envie de vous proposer un énième bouquin sur un voyage qui aurait eu pour but de découvrir que là-bas ils ont aussi des arbres et qu’ils ne mangent pas leurs enfants, qu’ils ont une âme et des traditions même si chez eux il fait très chaud et qu’il y a des moustiques. Je voulais vous secouer les méninges.
Vous noterez le « où (avec accent) » les réducteurs de têtes n’ont pas disparus… c’est bien de nous dont il s’agit ! Notre culture, à force de vouloir écraser les autres et toujours avoir raison, au nom de l’amour de Dieu, à fini par s’appauvrir et n’a réussi qu’à cultiver le nivellement par le bas.
Cette première édition n’a pas encore été relue par le grand Chef Ricardo. La traduction est en cours. Il s’agit du premier volet de SHUAR WARS qui va permettre une mise en bouche d’ici (Le Chamane et la Pétasse), puis la vision de là-bas (La Putain d’Amazonie) et enfin la synthèse (Tactique… tac-tic-tac).
Les ventes de cette première édition vont permettre le financement de tout ce projet dont celui d’avoir la correction des Shuars eux-mêmes, c’est à dire : leur livre. Ce livre final a pour vocation de financer les avocats qui leur permettront de récupérer leurs terres et d’y perpétuer leurs traditions.
La deuxième édition sera la cerise sur le gâteau, non seulement le livre qu’ils m’ont commandé, mais en plus LEUR version corrigée, par eux-même, sans intermédiaire (ils parlent, lisent et écrivent tous parfaitement l’espagnol, la faute aux conquistadors, mais bien utile pour ce projet). Je leur en ai fait la promesse. Avec votre soutien, nous pourrons la tenir. MERCI.